SIMON

AGE D'APPARENCE : 29 ans. TOTEM : Daim européen. (Et pour les plus cool) PETITE PRÉSENTATION PHYSIQUE DE VOTRE TOTEM: Animal quadrupède forestier la nuit, Simon a pour totem un daim assez menu, de quatre-vingts centimètres au garrot et de cent quarante-cinq centimètres de longueur. Alors que les robes fauves et rousses des daims sont d’ordinaire claires, la sienne est bien plus brune, comme si son pelage souhaitait garder pour toujours les couleurs de l’hiver. Très sombre, elle n’en demeure pas moins alezan brûlé, un peu comme les graines de café, et non pas ébène. Quelques tâches plus chocolat peuvent néanmoins apparaître sur son dos. Ses bois plats, qui trônent de chaque côté de sa tête, n’ont pas une taille extraordinaire, loin de là. Sa mince ramure est restée à quatre embranchements, mais chaque excroissance n’est pas très développée, ce qui fait que le tout reste raisonnable ; une trentaine de centimètres. Pas de quoi s’emmêler dans les buissons. Le reste de son corps est parfaitement semblable à celui de n’importe quel cervidé : un corps svelte, aux fines attaches, aux muscles déliés, taillé pour l’agilité et la vitesse, prêt à détaler quand il le faut. Dans un mauvais jeu de mot, nous pouvons aussi parler de ses yeux de biche, en amandes, totalement noirs, fichés sur sa tête mobile. ARMES DE PRÉDILECTION : Un revolver, tout simplement. Un du genre petit et discret, qu’on fourre facilement dans une poche ou une valise. CLADE : Noctuli. Parce que c’est cool d’être un méchant. GROUPE : La Paria. MÉTIER : Médecin. CROYANCE : Adorateur de Nausea. ASPIRATION/OBJECTIF : PHYSIQUE : Ce qu’on a enterré des années plus tôt dans un cimetière tranquille français, c’était un jeune homme dont l’aspect cadavérique avait déjà bien été préparé par de longs mois à occuper l’emploi convoité de légume. Ces semaines d’inactivités passées allongé sur un lit d’hôpital, nourri par une intraveineuse impassible, avaient creusé dans un corps déjà long et mince pour ne laisser que des muscles fondus, atrophiés par le manque d’exercice. Les joues autrefois doucement arrondies avaient fondues, obligeant la peau à se tendre à certains endroits et à s’affaisser à d’autres pour compenser. Les paupières lourdes ne s’étaient jamais plus levées pour découvrir les iris gris-bleus au regard lointain et rêveur. Les mèches blondes et pâles avaient finies par ternir et s’altérer au point de virer à certains endroits au gris perlé tandis que le manque de vitamines avaient rendus plus fin et plus fragile le moindre cheveu. Bien sûr, Simon n’avait jamais eu l’occasion de se rendre compte à quel point son corps s’était détérioré, puisqu’il avait passé toutes ces semaines dans le coma et que s’il avait repris conscience un bref instant, il n’avait pu mettre à profit ces quelques secondes pour se regarder, faute de miroir et tout simplement parce qu’il n’avait pas rouvert ses yeux. Sur Nausea, Simon a conservé l’apparence de celui qu’il était la veille de son coma. D’une taille moyenne –un mètre soixante-quatorze -, il parait souvent plus grand grâce à sa fine stature. Mince, sans être pourtant fragile, son manque de musculature bodybuildé, ses épaules étriquées, menues et son torse étroit l’allongent aux yeux des autres. A l’image de son totem, il possède des membres déliés et à défaut d’être basketteur ou lutteur, il aurait pu être un bon coureur amateur, sans prétention. Mais Simon, hélas, n’a jamais eut la vocation de verser dans le sport, quel qu’il soit. Non, physiquement, Simon était fait pour être cadre ou fonctionnaire. Discret, neutre. Néanmoins, il possède un visage élégant, un de ces visages en ovale allongé, dont le côté aristocratique est totalement brisé par le nez en trompette planté au milieu de la figure. Cela, malgré les lèvres fines et pâles au sourire un peu las. A mi-chemin entre la tête de l’étudiant joyeux et insouciant du début XXème et celle d’un jeune homme de bonne famille trop sérieuse. Ou l’étudiant un peu fatigué par trop de nuits arrosées. Ou le fils un peu feu follet de la même précédente famille. D’une façon générale, un air indolent. Un faux air indolent, en fait, parce que parfois, sous les paupières alourdies, un regard étrange s’éveille, un regard qui brûle. Ces traits sont encadrés par des mèches blond-gris coiffées en arrière, dans une vaine tentative de les coincer derrière les oreilles. Néanmoins, elles sont nombreuses à retomber et à s’égarer sur le front et les yeux du jeune homme. Une, notamment, prend plaisir à cacher une partie de la vision de Simon en se nichant juste devant l’un de ses yeux, suivant la courbe du nez. En fait, il y a à la fois de l’ange et du démon dans ce visage tantôt endormi, tantôt vif, et dans la courbe ambiguë du sourire. MORAL : HISTOIRE AVANT LE COMA : APRÈS LE COMA :

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ÂGE? Je me pavane en haut de la majorité. 18 ans.

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